[NO-FAKE]_Ma_relation_avec_un_dindon
Par : Pseudo supprimé
Genre : Inconnu
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 2
Publié le 19/08/13 à 01:11:55 par Pseudo supprimé
Dehors, le soleil tapait. Il faisait chaud, et les rayons du soleil me brûlaient la rétine. Combien de temps je n’avais pas quitté mon écran d’ordinateur ? Bien trop longtemps. A la force de regarder des retraités s’enculer passionnément, ou d’admirer la beauté de l’anus dilaté d’une jeune femme enculée par un cheval sur internet, j’avais perdu la notion du temps.
Moi et ma mère, nous vivions dans ce petit village de campagne depuis ma plus tendre enfance. Nous vivions reclus du monde, et les gens vivaient pour la plupart de leurs récoltes. Ainsi, il n’était pas rare de croiser des agriculteurs dont la salopette était recouverte de merdes de vaches, par exemple. Je ne fus donc pas du tout surpris en croisant Dédé, 54 ans, qui roulait en tracteur à travers le village. C’était normal, dans le coin.
Ici, le ramasseur d’ordures ne passait pas. Il fallait prendre un petit sentier, traverser un champ, et arriver dans la « grande ville » du coin pour jeter les poubelles. Bref, c’était une tâche harassante. Je me dirigea donc vers se fameux petit chantier, comme chaque samedi. C’est là que je le vis pour la première fois. Un simple regard, qui changea ma vie et mon destin a jamais, qui troubla mes sentiments, et qui fit définitivement chavirer mon cœur.
Là. Juste devant moi se tenait un être parfait, sublime et majestueux, mais en même temps d’une fragilité incomparable. Un dindon. Un dindon, certes, mais pas n’importe quel dindon. J’avais le sentiment étrange qu’il était différent, qu’il sortait du lot. Il était là, devant moi, et il me fixait de ses petits yeux globuleux.
« Glou glou ? »
Moi et ma mère, nous vivions dans ce petit village de campagne depuis ma plus tendre enfance. Nous vivions reclus du monde, et les gens vivaient pour la plupart de leurs récoltes. Ainsi, il n’était pas rare de croiser des agriculteurs dont la salopette était recouverte de merdes de vaches, par exemple. Je ne fus donc pas du tout surpris en croisant Dédé, 54 ans, qui roulait en tracteur à travers le village. C’était normal, dans le coin.
Ici, le ramasseur d’ordures ne passait pas. Il fallait prendre un petit sentier, traverser un champ, et arriver dans la « grande ville » du coin pour jeter les poubelles. Bref, c’était une tâche harassante. Je me dirigea donc vers se fameux petit chantier, comme chaque samedi. C’est là que je le vis pour la première fois. Un simple regard, qui changea ma vie et mon destin a jamais, qui troubla mes sentiments, et qui fit définitivement chavirer mon cœur.
Là. Juste devant moi se tenait un être parfait, sublime et majestueux, mais en même temps d’une fragilité incomparable. Un dindon. Un dindon, certes, mais pas n’importe quel dindon. J’avais le sentiment étrange qu’il était différent, qu’il sortait du lot. Il était là, devant moi, et il me fixait de ses petits yeux globuleux.
« Glou glou ? »
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